Horomiri collier perles

Horomiri est bien plus qu’un simple collier de perles .

C’est une explosion de couleurs naturelles, le collier Horomiri est un véritable hommage à la diversité chromatique des perles de Tahiti, comme seul l’océan peut en offrir.

Composé de 39 perles cerclées de 10 à 12 mm de diamètre, ce collier Horomiri est de type “matinée” de 54 cm se distingue par l’harmonie vibrante de ses tons : verts, bleus, aubergines, cuivrés, gris anthracite ou dorés… Chaque perle semble capter un éclat du lagon.

Les perles qui composent Horomiri sont toutes issues de ma ferme perlière artisanale à Manihi, dans l’archipel des Tuamotu. Sélectionnées une à une pour leur singularité, ces perles de qualité A-B arborent de magnifiques cerclages naturels qui rappellent le travail du temps et des éléments sur la nacre. Ce style est de plus en plus recherché par les amateurs de bijoux contemporains et les collectionneurs.

Le montage est réalisé sur un câble en acier gainé, à la fois souple et extrêmement résistant, garantissant une tenue parfaite dans le temps. Un fermoir bouée en argent massif 925 rhodié vient sécuriser cette composition exceptionnelle.

🌟 De nombreuses stars et célébrités à travers le monde ont choisi de porter des perles de Tahiti : Angelina Jolie, Rihanna, ou encore Michèle Obama, contribuent à leur renommée. En optant pour le collier de perles Horomiri, vous rejoignez ce cercle d’esthètes et de passionnés de beauté naturelle, tout en soutenant un artisanat français en circuit court.

Toutes les perles sont radiographiées et contrôlées, selon les normes strictes de la perliculture polynésienne. La pièce que vous voyez est exactement celle que vous recevrez, livrée dans un écrin de luxe, accompagnée d’un certificat d’origine et d’une lingette d’entretien.

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Le Washington Post rend hommage aux perles noires et aux femmes qui les portent !

Sous le titre, « Le message des perles noires de Kamala Harris » le quotidien américain Washington Post s’est livré à une véritable ode à la perle noire de Tahiti. Dans cet article le média fait le parallèle entre la difficulté des perles noires à faire leur place chez les bijoutiers, habitués aux perles blanches, et les difficultés des femmes qui aspirent à de hautes fonctions politiques à se faire une place. Pour le quotidien, là où les perles blanches disent : « J’écoute », les perles noires disent : « Je parle ».

« les perles noires de Kamala D. Harris ressemblent à des piles à combustible, l’alimentant lors de la campagne électorale de ses apparitions dans les médias et lors des audiences de la commission. » Et de détailler : « Elle portait des perles lorsqu’elle a prêté serment au Sénat, (…) elle les a portées lors du lancement de sa campagne présidentielle en janvier 2019, lors du débat présidentiel à Detroit, puis lors de son retour en campagne avec Joe Biden l’année suivante. Elle les a portées lors de son premier discours au Sénat en février 2017 et pour honorer la juge Ruth Bader Ginsburg en tant que première femme dont la dépouille a été exposée au Capitole. Ces petits globes de lumière communiquent de nombreux messages historiques : la pureté et l’innocence, mais aussi la sagesse, l’ambition et l’incorruptibilité. »